La belle île.
A la mélodia nue de l'harmonia mundi,
un grand front au soleil reprend la symphonie,
A la cascade là, aux branches éclaircies,
je me joins à l'astre près de l'arbre à l'abri.
J'ai chanté autrefois, sur mes airs d'aujourd'hui.
Wolfgang Mozart, printemps, petite musique en nuit.
au desespoir toujours, un vrai espoir en vue.
De la joie dans le coeur, la tristesse revue.
Cui cui le roitelet, clochette sonnante ;
en des fines gouttes, l'eau mouille les carreaux.
aux rêves nocturnes des heures présentes,
Je devine l' océan, j'imagine bateaux.
vers l'horizon ; dormant là, est une idylle,
du sud au nord ouest, à la mer, la belle île !
Chatou,le 7 aout 2005